(1874) ARIETTES OUBLIEE I Le vent dans la plaineSuspend son haleine.(Favart) C’est l’extase langoureuse,C’est la fatigue amoureuse,C’est tous les frissons des boisParmi l’étreinte des brises,C’est, vers les ramures grises,Le choeur des petites voix. O le frêle et frais murmure!Cela gazouille… Read More ›